

Bianco-White
blanche-White
+39 055 8070115
Via L. Da Vinci, 118/14
Barberino Tavarnelle
50028 – Firenze
Se vuoi chiedere informazioni a proposito di un prodotto o se vuoi sapere informazioni di carattere generale inviaci un messaggio, ti risponderemo il prima possibile.
Cette chaise en « porte-à-faux » fut dessinée en 1926 et sa production commença en 1927. Elle est similaire, dans la forme, à une chaise attribuée à Breuer (voir catalogue Thonet de 1927-28 : Mod. B33). La Cour allemande, dans le procès de 1926-28, attribua le modèle à Mart Stam. Dans la première version de Stam, le modèle présentait une barre horizontale de renforcement entre les pieds avant. Dans la version de Breuer et dans toutes les productions successives, la barre horizontale fut remplacée par un élément courbe sous le siège. En 1923, Gerhard Stuttgen, un enseignant de l’École d’Art de Cologne, lors de l’exposition de travaux scolaires, présenta une chaise en « porte-à-faux » (cantilever) réalisé en tube Mannesmman tréfilé à froid, mais à cette occasion, personne ne comprit l’importance de l'invention. En 1924, Mart Stam, ignorant vraisemblablement le projet de Gerhard Stüttgen, conçut l’idée de la chaise en « porte-à-faux ». L'analyse conceptuelle de Stüttgen était de nature technique plus que formelle, puisqu’elle entendait montrer les possibilités de réalisation offertes par le tube Mannesmann. Mart Stam en revanche, en pensant en termes formels, conçut la structure en « porte-à-faux » comme rotations successives d’un plan. N'ayant cependant pas d'expérience dans le traitement du métal, il conçut sa première chaise en « porte-à-faux » en utilisant un tube gris fondu à chaud avec des joints à angle filetés. En 1925-26, Mart Stam fut invité par Mies van der Rohe à participer à l’exposition de Weiisenhof. On suppose que Mies ait informé Stam du type d’équipements que Marcel Breuer utilisait dans les laboratoires du Bauhaus. Quelques semaines après l’arrivée à Weiisenhof de la chaise de Mart Stam, Mies présenta lui aussi sa version de chaise en « porte-à-faux » (v.mod. 304). Tel est le consensus concernant l’origine de la chaise en « porte-à-faux ». Quoi qu’il en soit, des raisons plutôt évidentes de nature technique peuvent prouver que le type de structure en « porte-à-faux » fut le résultat inévitable de l'utilisation des nouveaux équipements disponibles à l’époque pour courber le tube tréfilé à froid (Mannesman », plutôt qu’une imposition individuelle. Dès que les meubles en métal devinrent à la mode et les équipements techniques disponibles sur le marché, les chaises en « porte-à-faux » et les chaises « luges » devinrent les chaises en tube métallique les plus communes. Pas parce que l’on plagiait Mies, Stam ou Breuer, mais parce que la solution, économique et efficace, était le résultat des prestations techniques des équipements disponibles.
Chaise avec structure en tube d’acier chromé ou laqué; assise et dossier en cuir avec
lacets.
L./W. | H. | D. | |
47 | 86 | 62 | CM |
W. | H. | D. | |
18,5″ | 33,9″ | 24,4″ | IN |
blanche-White
Gris-Grey
Naturale-Dark tan hide
Nero-Black
Crème-Light tan hide
rouge bulgare-Bulgarian red
40.20
Glossy – matt dark red
Sable-Sand
brun-Dark brown
36
Oro Impero
320
Black pearl
620 Bronze
RAL 1013
Cream
1035 Pearl Beige
3007 Amarante
4820 Rouille Nacré
RAL 7006
Beaver
RAL 8019
Matt dark brown
RAL 9005
Matt black
RAL 9016
Matt white
Alu–chrome
Embossed aluminium
RAL 3003 Red
Chrome